Partie 4: Melaka, Malacca ou quelque chose du genre

Nous nous réveillons sous le clapotis d’une pluie torrentielle. Nous quittons Langkawi pour Kuala Lumpur. Nous dernier avion avant le retour à la maison. Après la prise de possession de l’auto, nous sommes confrontés,sous une pluie tropicale, aux dédales routiers de la Malaisie: un détour d’une cinquantaine de km à travers d’un labyrinthe routier suite à la prise d’une mauvaise sortie . Direction Malacca. Une centaine de kilomètres pour découvrir cette ville historique. Nous y rejoignons Serge Jardin pour une entrevue sur la Malaisie. Il demeure en Malaisie depuis une quarantaine d’années. Le quartier historique est tout près de l’hôtel. Une marche dans une marée humaine. La chaleur humide est toujours aussi omniprésente, il faut bien s’hydrater. Nous découvrons cette charmante ville réussissant quelques prises de photos à travers des touristes de toutes nationalités. Pour moi, cette ville me rapelle San Antonio avec la rivière qui sépare la ville et les bateaux de touristes qui l’arpentent. Le soir, les Trishaws (vélo à 3 roues pour promener les touristes) illuminent les rues et nous montre un côté Kitsch qui nous fait bien sourire. Le lendemain, nous arpentons les principaux sites touristiques sous un ciel clément et une température écrasante. Une visite des plus intéressantes guidées par les commentaires de notre entrevue de la veille. La ballade en bateau nous permet de se reposer les jambes et d’explorer la rivière vers des quartiers plus récents mais moins typiques. En marche vers notre restaurant, nous découvrons que la rue Jonker Walk est maintenant piétonnière avec pleins de commerçants qui s’installent. Un autre bain de foule s’annonce. Une soirée qui s’annonçait tranquille s’est tout à coup transformé, ce qui me rappelait pourquoi il fallait venir à Malacca le week-end.

2 réflexions sur “Partie 4: Melaka, Malacca ou quelque chose du genre

  1. Claire

    Que de beaux souvenirs me reviennent en tête avec Malacca et Monsieur Jardin…. journée inoubliable…. il ressemblait un peu à Philippe Noiret je trouvais. Vos photos reflètent très bien cette ville remplie de contrastes …. heureux mélange entre l’histoire et la réalité de 2018.

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