Un dernier petit tour dans le quartier de Plaka, juste pour connaître l’atmosphère du matin. Même tôt le matin l’endroit est en pleine effervescence. Près de 35% de la population de la Grèce vit dans la région d’Athènes.
Que retenir de ce voyage, Les pays ne sont jamais tels que nous les imaginons. La Grèce est un pays agréable à visiter, mais il faut aller au-delà des apparences. Les ruines ne sont pas que du roc mais des reliques de l’histoire. Les gens qui au premier abord peuvent sembler distant, sont cordiaux et très souvent prêt à vous prêter main forte.
La nourriture nous a aussi beaucoup surpris ,j’ai trouvé que c’est un endroit ou lil y en a pour tous les goût. La nourriture est toujours chaude et bonne. Je me suis surpris à essayer beaucoup de nouveaux mets qui presqu’à chaque fois dépassaient mes attentes.
J’ai cependant quelques déceptions, celles de ne pas avoir eu le temps d’en faire plus. En crête en particulier, j’aurais aimé sortir des villes et voir de plus près la nature.
Un deuxième voyage va se préparer pour explorer d’autres richesses de la Grèce. À bientôt et merci de votre lecture.
Un dernier tour près de l’hôtelLes gardes sont toujours au garde-à-vousIl y a des fouilles un peu partout même près des trottoirsUn monument à un artiste anonyme
Départ tôt de Chania par avion. Le soleil est de retour pour nous narguer. Le chauffeur de taxi qui nous conduisait à l’aéroport nous a parlé de la température de la région. Elle est constamment ensoleillée sauf en octobre et à partir de décembre. Les vents que nous avons connus surviennent en août et en octobre. Mais la température est imprévisible.
Après avoir visité un endroit, nous reconnaissons nos points de repères du haut des airs. À Athènes, notre hôtel est tout près de Plaka, le quartier animé de la ville. Notre chauffeur de taxi nous disait qu’il s’agissait du centre du monde grec, quand Plaka est animé, toute la Grèce se porte bien. Nous aimons nous promener dans ce quartier bondé. Nous sommes allés au jardin public tout près, qui ne voulait pas nous laisser aller à chaque découverte que nous y faisions. Nous nous sommes rendus au Parc Olympique pour un aperçu car nous reviendrons en Grèce sous peu. Nous avons finalement marché dans Plaka au hasard des rues pour prendre un apéritif à la plus vieille distillerie d’Athènes. Finalement, notre dernier repas nous a étonné. Plaka, tu nous manqueras.
Les conditions météos habituelles en Crète, mais il faut partirOn remarque les eaux turquoisesAu loin, je crois que c’est l’île d’HydraL’ombre de l’avion est atterri à AthènesPlaka, toujours aussi occupéLe Jardin Athènes semble invitantLe fruit du Kitron dont les feuilles sont utilisées pour le breuvageDes perruches s’abreuvent à la fontaine.Le stade olympique en marbre, nous le visiterons au prochain voyageUne statue près du stade, ça donne l’ambianceOn retourne près du jardinLa plus vielle brasserie en GrèceSon impressionnante collection de bouteilles est sa marque de commerceLa porte d’Hadrian, pas facile à photographier en plein trafficUn chat dort dans un magasin, non il n’est pas à vendre.Le dernier souper à Athènes, un poulet aux fromage fumée, un délice
Nous voulons prendre un autobus qui fait le tour de la ville de Chania, nous nous trompons d’endroit. Nous allons au jardin botanique : fermé pour rénovation. Nous trouvons un endroit ou l’autobus passe et il ne passe pas. Bref, nous courrions derrière notre ombre. La température s’en mêle et il tombe un petit crachin. Nous décidons de visiter le musée maritime, un musée composé principalement de maquettes. Après le dîner, nous décidons d’aller voir la plage, par curiosité. Nous tombons par hasard sur le départ des autobus tant recherchés. Nous décidons de faire le tour de ville, au cas où. Nous n’avons pas été déçu, nous avons découvert des endroits dont nous ne connaissions pas. De plus, nous avons enrichi nos connaissances sur l’histoire de la Crète. Tout est bien, qui finit bien. La Crète est un peu différente de la Grèce. Nous n’avons pas encore tout saisi ces différences, mais il y a un petit quelque chose : certains restaurants nous donnent l’addition au début (à Athènes aussi), nous avons remarqué que les gens avaient beaucoup plus de chiens… Il faut surement un certain temps pour tout saisir. Bref, nous avons apprécié notre séjour, mais nous aurions aussi aimé visiter la Crète moins urbaine, plus naturelle. Petit fait cocasse, notre dernier repas en Crète fut au même endroit que le premier, mais cette fois nous étions à l’extérieur, sur la terrasse près du bord de la mer.
Nous avons trouvé un beau point de vueAujourd’hui, les calèches sont sortiesCe petit chat semble s’intéresser à la photographieAu musée maritine, une maquette de la ville sous les règnes vénitiensSouvent dans les restaurant, à la fin du repas, les restaurateurs nos servent un peu quelque chose (ici c’est une liqueur à la saveur de rose).Une sculpture à la mémoire des victimes d’un naufrageNotre autobus touristique que nous avons finalement trouvé, ce fût un tour très instructif.Ici la ville de Channia vu d’un point d’observationUne série d’arbre un peu spéciauxEn s’en allant vers la plage, ce bateau est sur le toit d’un restaurant.Tout près de la plage. La sason touristique se termine bientôt.Certaines personnes sont suffisamment braves pour se baignerMéthode facile de faire de la pêcheLa journée se termine avec un coucher de soleil, il devrait faire beau demain mais nous partons.Au hasard de la route, une boutique de couteau ouverte depuis 3 générations.Il y a des couteaux vraiment pour tous les goûtsFabrique de couteau artisanal.
Ce matin une jeune femme associée à l’agence de voyage (locale) nous conduit de Héraklion à Chania, une balade d’un peu plus de 2 heures. Peu de vue panoramique, mais il est vrai que la température n’était pas au rendez-vous. En arrivant à Chania, nous nous baladons près de la mer et décidons de manger dans un petit café sympathique. Un café animé et original, le genre de café ou nous aurions pu y passer le restant de l’après-midi. Les gens viennent ici pour jouer à des jeux comme le backgammon qui est très apprécié en Grèce. De plus, le Ciabatta était excellent. Un prologue intéressant pour cette petite ville.
Le temps est plutôt incertain. Nous choisissons de nous balader dans la vieille ville et de visiter le vieux port et sa partie vénitienne. Les vagues essaient de s’emparer du trottoir au grand désespoir des passants. Nous vagabondons jusqu’au phare vénitien tout en évitant les vague qui essaient de s’immiscer avec fureur de l’autre côté de la muraille qui se rend au phare. Nous apprécions vraiment le caractère de cette ville.
C’est une ville beaucoup plus touristique qu’Héraklion. Et comme pour la plupart du tourisme en Grèce, elle s’endormira bientôt pour s’éveiller à nouveau au printemps prochain.
On se croirait presque à Venise, bien que l’eau est ici beaucoup plus belleDes rues plus étroites cachent de belles découvertesOn aime se perdre dans les petites ruelles.Beaucoup de boutiques de vases et contenantL’eau passe parfois par dessus le trottoirIl est encore tôt, les terrasses attendent que les visiteurs (les plus braves)Le phare au bout de la murailleUn magasin flottant : Éponge et CoquillageNous profitons du momentUne marque qui a été sèche malgré toutLa cathédrale de la ville, un arrêt rapideUn repas grec à l’abri du ventPeu à peu, la nuit gagne du terrain, nous indiquant qu’il est temps de retourner à l’hôtel
Une nouvelle ville, de nouveaux repaires sont nécessaires. Nous voulons visiter le palais de Knossos, il s’agit d’un site archéologique très important dans la région, mais nous dévons nous y rendre, il est environ à 6 km de la ville. Nous choisissons le transport en commun. L’autobus # 2 s’y rend mais nous devons trouver ce bus. De plus, nous devions rencontrer notre guide pour 11h00 ayant réserver ce tour en français tôt le matin. Difficile d’avoir de l’information, mais nous suivons les indications du téléphone et se retrouvons sur le bon bus qui était bondé de touristes allant au même endroit. Selon notre guide, c’est le 2ieme site le plus visité après l’Acropole d’Athènes.
Tout comme Delos, il est important d’avoir un guide pour tirer le maximum du site : la guide fait renaître des pierres la vie de ce site spirituel et commercial : La crête étant stratégiquement placée pour les échanges commerciaux entre les pays. Notre guide, une passionnée d’histoire et de mythologie, nous a décrit les nouvelles découvertes dans ce domaine tel que Milos, le roi, était en fait une femme et que Knossos n’était pas un palais mais un centre d’échange commercial.
De retour au centre-ville, la ville s’anime. Nous déambulons dans les rues commerciales animées jusqu’à la vielle ville et au Fort vénitien deKoules ou la mer frappe violemment les murailles du fort. Une visite qui est fort intéressantes et remplies d’histoire.
La crète est beaucoup plus verte que les îles visitées jusqu’à maintenant. Note: les oliviers doivent être à une hauteur de moins de 600 m pour donner des fruits.Une partie des ruines ont été reconstruites avec les matériaux originaux.Notre guide nous explique les méthode de construction de l’époqueLes fresques ont été reconstituées. Les hommes avaient la peau foncée car ils travaillaient à l’estérieur et les femmes la peau claire car elles étaient à l’intérieur. On remarque ici l’influence égyptienne.Les vases sont énormes et servaient à entreposer.Nous sommes devant la section la plus célèbre de ce site.Des inscritions sur les murs indiquent lla direction. Ici c’est le trident de Posseidon.La basilique de St-Marc, la plus impressionnante jusqu’à maintenant.Le vieux port. Cette photo ne fait pas justice au vent présentEncore le port et ses nombreux bateauxLe fort vénitien, une zone d’affluence.Il faut se maintenir à une certaine distance de la mer. Certaines personnes l’ont appris de la manière humides.L’intérieur du fort, bien reconstitué et bien documenté.Des amphores de vins. Pleinne, on serait prêt pour faire la fête.Le dessus du fort à la merci des vents.La maquette en bois du palais de Knossos aussi appelé labyrynthe. Selon la mythologie, ce serat la résidence du Minautore (mi homme, mi taureau).Des jarres encore plus grandes. Les anneaux servaient aux cordes.Des bains qui servaient aussi de sarcophage.Des vases dans le musée archéologiques. Même vide ils sont loins d’être léger.
Dernière journée à Santorini. Pourquoi ne pas gravir la montagne près de l’hôtel, ce sentier abrupt nous mène à des superbes points de vue sur Kamari. Une minuscule randonnée comparée à celle d’hier. Le ciel est cependant encore nuageux. Nous avions prévu aller dans une basserie locale à plus de 2 km de l’hôtel, mais en utilisant Google Maps, le logiciel nous dit qu’il est fermé aujourd’hui. Nous décidons de nous promener sur la plage. Le vent enlève le goût de se baigner à plusieurs personnes. De notre côté, nous découvrons cette partie de l’île que nous avons négligé même si tout près de l’hôtel. Cette fois, nous sommes demeurés confortable dans notre choix de repas et à notre étonnement, c’est l’une des meilleures pizzas du voyage (et même plus).
Une navette nous amène au port. Notre billet indique 16h40 comme départ, une recherche sur internet nous renseigne que le départ doit se faire à 17h30. La navette pour Héraklion (Crête) arrive finalement à 18h30. Il ne semble pas y avoir de poste d’information donc difficile vraiment de savoir ce qui se passe.
Découvrir une nouvelle île c’est un peu comme rencontré un étranger, nous l’étudions et nous nous adaptons, nous apprenons à la découvrir et à l’apprécier. La quitter, c’est comme laisser un ami, nous connaissions nos points de repère, notre hôtel, nos restaurants et nous ne savons pas si et quand nous le reverrons. SI vous me demandez quelle est mon île préférée, je ne saurais répondre, nous avons vécu des expériences différentes sur chacune, les gens locaux sont agréables surtout dans les parties moins touristiques.
En descendant à Héraklion, on remarque tout de suite le changement de rythme, le climat calme et serein des îles est remplacé par la vie trépidante des villes : Traffic, klaxon, bruit d’une circulation plus intense. Cette ville de 200 000 habitants, la 4ième en importance de Grèce possèdent l’ADN des centres-villes. Nous la découvrions demain. En passant, l’internet de l’hôtel est en panne suite à une tempête de vent.
Une partie du sentie de fait, il semble que le zig zag soit le chemin le plus courtIl faut faire attntion et regarder ou l’on marche car la surface est souvent inégaleNous montons encore avec Kamari en arrière planUne route pavée est aussi disponible, plus longue mais plus facile. Par contre, on y rencontre des autos.La ville de Kamari avec l’aéroport tout au loin.L’aéroport n’est pas loin, pas surprenant qu’il fallait appeler la tour de contrôle pour faire du drone (P.S. je ne lai pas utilisé)Chaque restaurant a ses parasols sur la plageLes chaises et parasols nous attendent sur la plage de sable noirUne des meilleures pizza du voyage (non, nous n’avons pas mangé juste de la pizza)Quelques chiens errants, celui-ci a choisi de se reposer sur la plageLe bruit des vagues est toujours relaxantUne dernière vue de la CaldéraL’un des plus gros bateau de croisière de la flotte Royal Carabean. La majorité des gens doivent être à Oia à chercher les dômes bleus.Une bière en attendant notre navetteBeaucoup de gens partent pour HéraklionNotre navette super rapideLes gens et autos vont descendre avant que l’on puisse monter.
Aujourd’hui, nous nous levons et c’est nuageux, il a plu récemment. Nous décidons d’utiliser le transport en commun. Nous devons marcher 400 m pour nous rendre à la station d’autobus. On nous avait bien dit d’arriver d’avance. Nous sommes arrivés 20 minutes d’avance et l’autobus est arrivé et s’est remplie. Souvent durant ce voyage, nous nous sommes dit qu’en haute saison, ça devait être infernal. Cinq minutes plus tard, l’autobus était partie. Nous voilà en route pour Thira (Fira pour les touristes), c’est la capitale. Quelques pas plus tard, nous voilà dans le sentier des mules pour descendre au vieux port. C’est de là que se fait la plupart des tours de bateaux vers les îles voisines et c’est aussi à cet endroit que se fait l’arrivée des navettes des navires de croisière. Mais nous décidons de remonter en cable car.
En haut, nous cherchons le sentier de Fira à Oia, une randonnée de 10 km, la plus belle de Santorini pour plusieurs. La durée devait d’être de 3 heures, c’est sûrement sans regarder tous les merveilleux panoramas. Il nous a fallu plus de 4h30 avant d’arrivée à notre destination (un peu exténué). Mais l’énergie de la ville (et un café), nous ont remis sur pied. Les foule de touristes et les chasseuses d’Instagram foisonnent dans tous les racoins de la ville. Nous revivons ce que nous avions vécu la veuille. Quelques photos et nous sautons dans le premier bus pour Fira pour une correspondance à Kamari (ou nous restons). J’étais un peu déçu de ne pas rester du côté de la caldera, mais il y a 2 avantages : les hôtels sont beaucoup moins chers et nous sommes tout près de la plage. De plus, quand j’ai vu les gens se promener avec leur valise dans les sentiers (et escaliers) de Fira et Oia, j’ai apprécié le service de navettes qui nous mène aux portes de l’hôtel.
Tiens en passant à côtéOn n’en fera pas une photo Instagram. À bien y penser, c’est un île volcanique au loin. On descend le sentier des mules.On nous offre de descendre pour 10 Euros, si j’avais à choisir, ce serait pour monterBeaucoup de marches souvent inclinées et mouillées avec parfois des cadeaux laissés par les mules.Un arrêt photo en descendantJe crois que l’on va prendre le cable car pour remonterBateau typique sur lequel on peut se rendre sur l’île volcaniqueCertaines personnes ajustent la suspension de leurs autos, d’autres c’est leurs souliers. Ça lui permet de grandir de quelques centimètres.Nous avons commencé le sentier, il ne reste que 9.9 km à faireLa ville de Fira vu au loin.On peut faire une incartade. Bien involontairement, on s’est trompé de chemin et on s’est retrouvé à la base. Le Skaros rock est aussi une randonnée populaire.Tout au bout Oia, notre destination.Il semble que les gens déposent une petite pierre ici.Le trou d’un troglodyte, une genre des cavernes servant de résidence jadisCe sont des cavernes construites dans de la terre très friables.Oia est à horizon, encore quelques kms.Le sentiers changent le long de la randonnée: pavée, pierres, sable… il y en a pour tous les gouts. Il faut être prudent.Encore une file Instagram pour photographier le dôme bleu. Vu d’un autre angle. C’est la cohue…,, Le soleil se couche tout doucement. L’énergie de la ville provient de tous ces gens qui se promènent dans les rues et des merveilleux points de vue.Ça nous semble l’endroit utiliser pour les shooting photosUn café à Oia avec vue sur les dômes bleus quoi demander de mieuxVue vers Imerovigli et le Skaros RockUne photo près du point de que tous les fans d’Instagram se rassemblent.
La météo module nos activités. Nous avons pris un tour de l’île. Une façon rapide de voir les points principaux de l’île. Premier arrêt, l’endroit le plus élevé de Santorin : Moni Profiti Ilia. Une vue superbe sur la Caldéra (falaise formée par le cône du volcan qui s’écroule dans la mer) et en prime une petite chapelle. Cette visite fut suivie de celle d’une cité médiévale Pyrgos du temps des Vénitiens. On a encore droit à une magnifique vue sur Oia (la ville du bout de l’île). Lors de la 3ieme arrête dans la ville de Megalochiri, la guide nous parle des vignes et de leur forme à cause des vents et du manque d’eau. Le repas du midi se fait sur une plage de sable noir : Perissa Beach. Un sable volcanique qui peut devenir très chaud sous le soleil d’été.
En direction d’un arrêt photogénique, Imeroviglion, une petite pluie commence. C’était le troisième depuis mai. C’est tout une chance (je suis un peu ironique). L’arrêt en vaut la peine. Nous reviendrons sûrement dans les jours qui suivent.
La conclusion se fait à Oia. C’est vraiment un capharnaüm. Des gens partout dans les rues étroites jumelé à une parade de gens qui veulent embellir leur compte Instagram. Les gens sont à la recherche de l’endroit idéal pour LA photo. À mesure que le soleil baisse, les gens s’attroupent pour admirer et surtout photographier sur le soleil qui a finalement pointé son nez avant de se fondre dans les nuages. Le spectacle est plus la foule que le coucher du soleil et dire que c’est la fin de saison.
Vue de la Caldéra ave Ioa tout au bout de la pointeTiens des touristes, je les ai vu en quelque part.Jadis il y avait un chateau Vénitien, mais il a été démoli.Belle vue du haut de la ville de PyrgosLes vignes à Santorini. Les vendanges viennent d’avoir lieu. Ce n’est pas les vignes qu’on connait.Megalochiri: Une habitation historique avec la cuisine à l’extérieur et les toilettes doivent être à l’arrière aussi à l’extérieur. Elles étaient bâties avec du sol volcanique.Une version plus moderne des habitationsUn peu de couleurs sur la plage de sable noir longue de 2 km.Certains restaurants fournissent des parasols à ceux qui y mangent,Imeroviglion,: des points de vue de cartes postales (à la pluie)L’ile volcanique en face de Santorini, elle peut être visiter. Le volcan se trouve sous la mer. La file de gens à Oia qui attendent pour prendre quelques photos des toits bleus.Une séance photo privéeUne séance photo pour les impatients : trouver un endroit sans personne est un exploit.On aura un coucher de soleil finalement, avec la pluie et les nuages, on était sceptiqueNous ne sommes pas seuls à regarder le soleil et nous sommes hors saisonUn super souvenir de SantoriniUn salade grecque appelé, salade SantoriniUne salade Santorini – version locale de la salade Grecque
Une marche le long de la plage avant le transport au port. Nous partons pour Santorini. Pour la première fois, le traversier était en retard. L’arrivée à Santorini nous impressionne. La caldera avec ses maisons bâties tout en haut. L’hôtel se trouve de l’autre côté de l’île près d’une plage. Les prévisions nuageuses s’annoncent nuageuse et possiblement pluvieuse pour samedi, à suivre.
Une dernière marche à CHoraLa ville de Oia à SantoriniLes habitations sont comme de la neige sur le haut de la calderaLes autobus (de l’agence de voyage) nous attendaient à la sortie du traversier.Notre place près de l’hôtel à Santorini
Nous établissons un itinéraire avec les points que nous avons choisi pour la journée. Premier arrêt, le temple de Demeter. Il s’agit de vestiges d’un sanctuaire du VIe siècle av. J.-C. consacré à la déesse des récoltes et de la fertilité… un précurseur du Parthénon. Il est toujours impressionnant de voir des vestiges si anciens si bien conservé. Au hasard de la route, nous voyons Damalas. Je me rappelle qu’il y a un musée sur le pressage des olives. Sans faire ni un ni deux, nous nous dirigeons vers cette petite ville encerclée par les oliviers. Nous croisons l’autobus de touristes croisé précédemment au temple et nous nous dirigeons vers le bâtiment d’où ils sortaient. Il s’agissait d’un atelier de poterie locale. Après discussion avec les gens de ce magasin, nous avons eu droit à une démonstration de l’art local. Une visite des plus intéressantes. Un peu plus loin, le musée sur le pressage des olives est instructif bien qu’il n’y avait personne pour donner les explications.
Puis, nous partons à la chasse du Kouros. La distance ne détermine pas le temps de déplacement. Monter, descendre, tourner à gauche, tourner à droite, accélérer, freiner et surtout être attentif aux autos que nous croisons. Heureusement, la route montagnarde fût agrémentée de nombreux arrêts pour apprécier les panoramas à couper le souffle. Après quelques heures de louvoiement, nous arrivons à l’endroit où le Kouros, la statue de 10.5 m, gît sur le sol depuis des siècles.
La fin de journée fût conclue avec le traditionnel coucher de soleil question de dire au revoir à la plus grande île des cyclades.
La rue de notre hôtel, nous remarquons les sens uniqueOn se dirige vers ses montagnes, du sport en perspectiveIL y a beaucoup de randonnée pédestre sur l’île. Elles sont bien identifiées. Dommage que nous n’ayons pas eu plus de temps.Le temple de Demeter, selon moi, un arrêt s’impose autant pour le temple que pour le panoramaL’intérieur du magasin de poterieL’Artisan nous montre comme il fabrique son pot à vinL roue pour écraser les olives et en faire une pateLa presse pour extirper l’huile d’olivesDes routes sinueuses et montagneusesMontagne et routes en lacet, ce fût le panorama de la journéeUn âne sur le bord de la route… il admire le paysage je croisLa ville d’Appolonas tout près du KourosLe Kouros de Naxos, on croit qu’il ne pouvait plus le transporter après l’avoir sculpté dans le marbreLes gens s’attroupent à la porte d’Apollon pour le coucher du soleilUn restaurant qui nous avait été conseillé et qui servait des mets traditionnels de l’île et des patates de NaxosEt pour terminer la journée, notre nouveau rituel : s’asseoir et regarder le soleil glisser lentement derrière l’horizon