Partie 4: Là où le traversier nous mène

Nous commençons la journée avec une frousse. Après nous avoir appelé pour monter dans un autobus, on nous incite à descendre de l’autobus et reprendre nos bagages, et d’aller dans un autre bus. Comble du malheur, ce nouveau bus ne va pas au bon traversier. Heureusement, le chauffeur s’en rend compte et nous conduit gentiment au bon traversier. Ici, les traversiers partent à l’heure, et les retardataires peuvent prendre de belles photos du bateau qui s’en va.

Notre destination : l’île magnifique de Mykonos. Nous étions remplis d’excitation de revoir ce petit paradis grec. Notre itinéraire débutait par la visite des célèbres moulins à vent. Ils se dressent fièrement sur la colline qui surplombe Chora. C’est un point d’attraction touristiques.

En descendant de la colline des moulins, nous nous sommes retrouvés dans le charmant quartier de la Petite Venise. Ses maisons colorées en bord de mer étaient tout simplement enchanteuses. Nous nous sommes promenés le long des ruelles étroites et avons découvert de petites boutiques, des cafés pittoresques et des galeries d’art

Le vieux port de Mykonos était notre prochaine étape. C’était un endroit animé, où les bateaux colorés se balançaient doucement sur les vagues. Le vent était omniprésent et nous pourchassait lors de nos balades près de l’eau.

Les tavernes traditionnelles offraient des spécialités locales délicieuses, et nous nous sommes laissés tenter par un souper près de la mer. Nous avons choisis des plats grecs qui étaient délicieux.

Partie 3 : Quand la météo nous réserve des surprises

Aujourd’hui, les prévisions annonçaient de la pluie, mais nous avons eu la chance d’être agréablement surpris par une journée avec quelques percées de soleil.

Dès le début de notre journée, nous avons été captivés par la beauté des bâtiments emblématiques d’Athènes. Nous avons visité trois édifices magnifiques, dont l’université, à l’architecture grandiose qui témoigne de la richesse culturelle de la ville.

Puis, nous avons traversé le marché d’Athènes. La source de produits frais pour les résidents de la ville. Viandes, poissons, épices, fruits et légumes se concurrencent pour attirer notre attention. Une expérience visuelle et olfactive inoubliable.

Notre prochaine étape nous a conduits à Spyri, un quartier réputé pour son art de rue dynamique. Malgré les prévisions météorologiques, le soleil radieux a donné vie aux couleurs vives qui ornent les murs de ce quartier.

Après une bouchée rapide sur le bord de la rue, nous nous dirigeons vers: le Zappéion qui se situe dans le jardin d’Athènes Nous y avons fait une pause bien méritée près de ce magnifique bâtiment situé dans un cadre verdoyant. Nous avons pris le temps d’apprécier la faune et la flore présente.

Nous avons poursuivi notre journée en nous aventurant dans les rues animées de Plaka. Il semble que peu importe où nous allons à Athènes, nous nous retrouvons à Plaka qui regorge de boutiques, de restaurants et de cafés accueillants.

Étant curieux (référence Curieux Bégin), nous avons fait une pause au bar Hétéroclito, un bar à vin qui offre du vin abordable, malheureusement, la propriétaire n’était pas présente.

Nous avons terminé notre journée mémorable en savourant une bière rafraîchissante sur le toit de notre hôtel, profitant de la vue panoramique sur la ville et l’Acropole qui s’étendait sous nos yeux. Pour le dîner, nous avons opté pour un restaurant coréen, ajoutant une touche internationale à notre repas.

Nous pouvons visiter la plupart des attractions extérieures d’Athènes en quelques jours. Cependant, de nombreux musées permettraient d’approfondir nos connaissances sur cette ville et la Grèce

Partie 2: Immersion dans Athènes

Nous avons décidé de visiter tôt le matin l’Acropole, majestueusement perchée sur la colline.  Accompagnés d’un guide passionné, nous avons exploré les ruines fascinantes du Parthénon, du Temple d’Athéna et d’autres trésors architecturaux. L’histoire s’est animée devant nos yeux. Nous recommandons l’utilisation d’un guide, le nôtre : Nektarios Chatzinikolaou (https://www.facebook.com/nektarios.chatzinikolaou/) nous a ravi. Son français était excellent et était une source d’information intarissable.

Le site est rapidement devenu submergé par une marée humaine à l’arrivée, entre autres, de bateaux de croisière. Il en était difficile de se déplacer.

Après cette immersion historique, nous avons décidé de flâner dans le quartier pittoresque de Plaka, se perdant ainsi dans ses ruelles sinueuses. Plaka nous a offert un aperçu vivant de la vie quotidienne de la section touristique d’Athènes.

Après le lunch et la visite du premier cimetière d’Athènes qui est aussi un parc ou les locaux vont relaxer, notre guide nous récupère pour une balade en auto à Pirée et pour un arrêt Centre Culturel de la Fondation Stavros Niarchos qui héberge la bibliothèque nationale de Grèce. Ce complexe conçu par l’architecte Renzo Piano (centre Georges Pompidou) abrite aussi l’Opéra national de Grèce et un parc paysager parsemé de terrains de jeux et d’un canal d’eau de 400 m de longueur.  Ce fut une découverte surprenante.

Pour terminer notre journée en beauté, nous avons choisi un restaurant, Athéna Cook, que nous avions apprécié à l’automne pour y reprendre un mets que nous avions adoré Riz et poulet au fromage fumé. Cependant, nous nous sommes trompés et avons gouté un autre met (tortellini au porc fumé (d’où la confusion)) qui était tout de même délicieux.

Partie 1: Nous courrons vers Athènes

Notre voyage de Québec à Athènes a commencé avec une petite frayeur : un retard de 1h30 sur le vol Quebec Montreal. Cela nous a laissé seulement quarante minutes pour notre transfert. Grâce à une course effrénée, nous avons réussi à rejoindre notre correspondance. Conseil aux voyageurs : s’enregistrer le plus tôt possible, et prendre un siège le plus en avant possible sur les courtes correspondances.

Une fois arrivés à Athènes, nous avons été accueillis par un chauffeur qui nous a conduit au centre-ville. La découverte de la ville a commencé dès l’après-midi malgré un manque de sommeil flagrant.

La ville d’Athènes déborde d’énergie et d’animation. Les rues regorgeaient de vie, avec des marchés animés, des cafés bondés et des musiciens de rue qui créaient une symphonie urbaine. Comme toute grande ville, il faut se méfier des voleurs à la tire qui se mettent à plusieurs pour nous distraire ce qui est arrivé pendant le changement de gardes. Heureusement, ils n’ont pas connu de succès.

Nous avons aussi entre autres découvert la rue de Little Cook, qui nous a transportés dans l’univers féérique d’Alice au pays des merveilles. Les couleurs vives et les décorations fantaisistes ont éveillé notre curiosité et notre imagination.

Nous nous sommes ensuite promenés dans les quartiers de Plaka et Monastiraki, imprégnant l’atmosphère unique de ces lieux.

Comme lors d’une première journée en Europe, le lit nous a ouvert ses draps et n’avons pas trop lutté pour le laisser gagner.

Demain, c’est jour d’élections en Grèce, espérons que cela n’aura pas d’impact sur nos visites.

Partie 0: Il ne faut jamais dire jamais

Nous pensions toujours ne jamais retourner au même endroit, car il y a tant d’endroits à visiter à travers le monde. Cependant, nous allons faire une exception pour la Grèce. Nous prévoyons partir pour 4 semaines en Grèce avec nos amis Josée et Yvan, poursuivant ainsi notre voyage de l’automne dernier. Retourner en Grèce, c’est comme rendre visite à un vieil ami. Nous attendons déjà avec impatience cette rencontre : l’effervescence d’Athènes, le calme des Cyclades, l’unicité des Météores, le charme des îles Ioniennes et enfin, l’aspect historique du Péloponnèse. Bien sûr, nous documenterons ce merveilleux périple avec un film qui mettra en valeur les meilleurs moments de notre voyage.

Partie 19 : Le retour

Un dernier petit tour dans le quartier de Plaka, juste pour connaître l’atmosphère du matin. Même tôt le matin l’endroit est en pleine effervescence. Près de 35% de la population de la Grèce vit dans la région d’Athènes.

Que retenir de ce voyage, Les pays ne sont jamais tels que nous les imaginons. La Grèce est un pays agréable à visiter, mais il faut aller au-delà des apparences. Les ruines ne sont pas que du roc mais des reliques de l’histoire. Les gens qui au premier abord peuvent sembler distant, sont cordiaux et très souvent  prêt à vous prêter main forte.

La nourriture nous a aussi beaucoup surpris ,j’ai trouvé que c’est un endroit ou lil y en a pour tous les goût. La nourriture est toujours chaude et bonne. Je me suis surpris à essayer beaucoup de nouveaux mets qui presqu’à chaque fois dépassaient mes attentes.

J’ai cependant quelques déceptions, celles de ne pas avoir eu le temps d’en faire plus. En crête en particulier, j’aurais aimé sortir des villes et voir de plus près la nature.

Un deuxième voyage va se préparer pour explorer d’autres richesses de la Grèce. À bientôt et merci de votre lecture.

Partie 18 : Retour sur Athènes

Départ tôt de Chania par avion. Le soleil est de retour pour nous narguer. Le chauffeur de taxi qui nous conduisait à l’aéroport nous a parlé de la température de la région. Elle est constamment ensoleillée sauf en octobre et à partir de décembre. Les vents que nous avons connus surviennent en août et en octobre. Mais la température est imprévisible.

Après avoir visité un endroit, nous reconnaissons nos points de repères du haut des airs. À Athènes, notre hôtel est tout près de Plaka, le quartier animé de la ville. Notre chauffeur de taxi nous disait qu’il s’agissait du centre du monde grec, quand Plaka est animé, toute la Grèce se porte bien. Nous aimons nous promener dans ce quartier bondé. Nous sommes allés au jardin public tout près, qui ne voulait pas nous laisser aller à chaque découverte que nous y faisions. Nous nous sommes rendus au Parc Olympique pour un aperçu car nous reviendrons en Grèce sous peu. Nous avons finalement marché dans Plaka au hasard des rues pour prendre un apéritif à la plus vieille distillerie d’Athènes. Finalement, notre dernier repas nous a étonné. Plaka, tu nous manqueras.

Partie 17 : Tout n’est pas rose

Nous voulons prendre un autobus qui fait le tour de la ville de Chania, nous nous trompons d’endroit. Nous allons au jardin botanique : fermé pour rénovation. Nous trouvons un endroit ou l’autobus passe et il ne passe pas. Bref, nous courrions derrière notre ombre. La température s’en mêle et il tombe un petit crachin. Nous décidons de visiter le musée maritime, un musée composé principalement de maquettes. Après le dîner, nous décidons d’aller voir la plage, par curiosité. Nous tombons par hasard sur le départ des autobus tant recherchés. Nous décidons de faire le tour de ville, au cas où. Nous n’avons pas été déçu, nous avons découvert des endroits dont nous ne connaissions pas. De plus, nous avons enrichi nos connaissances sur l’histoire de la Crète. Tout est bien, qui finit bien. La Crète est un peu différente de la Grèce. Nous n’avons pas encore tout saisi ces différences, mais il y a un petit quelque chose : certains restaurants nous donnent l’addition au début (à Athènes aussi), nous avons remarqué que les gens avaient beaucoup plus de chiens… Il faut surement un certain temps pour tout saisir. Bref, nous avons apprécié notre séjour, mais nous aurions aussi aimé visiter la Crète moins urbaine, plus naturelle. Petit fait cocasse, notre dernier repas en Crète fut au même endroit que le premier, mais cette fois nous étions à l’extérieur, sur la terrasse près du bord de la mer.

Partie 16 : Notre dernière destination

Ce matin une jeune femme associée à l’agence de voyage (locale) nous conduit de Héraklion à Chania, une balade d’un peu plus de 2 heures. Peu de vue panoramique, mais il est vrai que la température n’était pas au rendez-vous. En arrivant à Chania, nous nous baladons près de la mer et décidons de manger dans un petit café sympathique. Un café animé et original, le genre de café ou nous aurions pu y passer le restant de l’après-midi. Les gens viennent ici pour jouer à des jeux comme le backgammon qui est très apprécié en Grèce. De plus, le Ciabatta était excellent. Un prologue intéressant pour cette petite ville.

Le temps est plutôt incertain. Nous choisissons de nous balader dans la vieille ville et de visiter le vieux port et sa partie vénitienne. Les vagues essaient de s’emparer du trottoir au grand désespoir des passants. Nous vagabondons jusqu’au phare vénitien tout en évitant les vague qui essaient de s’immiscer avec fureur de l’autre côté de la muraille qui se rend au phare. Nous apprécions vraiment le caractère de cette ville.

C’est une ville beaucoup plus touristique qu’Héraklion. Et comme pour la plupart du tourisme en Grèce, elle s’endormira bientôt pour s’éveiller à nouveau au printemps prochain.

Partie 15 : S’initier à la Crète

Une nouvelle ville, de nouveaux repaires sont nécessaires. Nous voulons visiter le palais de Knossos, il s’agit d’un site archéologique très important dans la région, mais nous dévons nous y rendre, il est environ à 6 km de la ville. Nous choisissons le transport en commun. L’autobus # 2 s’y rend mais nous devons trouver ce bus. De plus, nous devions rencontrer notre guide pour 11h00 ayant réserver ce tour en français tôt le matin. Difficile d’avoir de l’information, mais nous suivons les indications du téléphone et se retrouvons sur le bon bus qui était bondé de touristes allant au même endroit. Selon notre guide, c’est le 2ieme site le plus visité après l’Acropole d’Athènes.

Tout comme Delos, il est important d’avoir un guide pour tirer le maximum du site : la guide fait renaître des pierres la vie de ce site spirituel et commercial : La crête étant stratégiquement placée pour les échanges commerciaux entre les pays. Notre guide, une passionnée d’histoire et de mythologie, nous a décrit les nouvelles découvertes dans ce domaine tel que Milos, le roi, était en fait une femme et que Knossos n’était pas un palais mais un centre d’échange commercial.

De retour au centre-ville, la ville s’anime. Nous déambulons dans les rues commerciales animées jusqu’à la vielle ville et au Fort vénitien de Koules ou la mer frappe violemment les murailles du fort. Une visite qui est fort intéressantes et remplies d’histoire.