Aujourd’hui, nous nous levons et c’est nuageux, il a plu récemment. Nous décidons d’utiliser le transport en commun. Nous devons marcher 400 m pour nous rendre à la station d’autobus. On nous avait bien dit d’arriver d’avance. Nous sommes arrivés 20 minutes d’avance et l’autobus est arrivé et s’est remplie. Souvent durant ce voyage, nous nous sommes dit qu’en haute saison, ça devait être infernal. Cinq minutes plus tard, l’autobus était partie. Nous voilà en route pour Thira (Fira pour les touristes), c’est la capitale. Quelques pas plus tard, nous voilà dans le sentier des mules pour descendre au vieux port. C’est de là que se fait la plupart des tours de bateaux vers les îles voisines et c’est aussi à cet endroit que se fait l’arrivée des navettes des navires de croisière. Mais nous décidons de remonter en cable car.
En haut, nous cherchons le sentier de Fira à Oia, une randonnée de 10 km, la plus belle de Santorini pour plusieurs. La durée devait d’être de 3 heures, c’est sûrement sans regarder tous les merveilleux panoramas. Il nous a fallu plus de 4h30 avant d’arrivée à notre destination (un peu exténué). Mais l’énergie de la ville (et un café), nous ont remis sur pied. Les foule de touristes et les chasseuses d’Instagram foisonnent dans tous les racoins de la ville. Nous revivons ce que nous avions vécu la veuille. Quelques photos et nous sautons dans le premier bus pour Fira pour une correspondance à Kamari (ou nous restons). J’étais un peu déçu de ne pas rester du côté de la caldera, mais il y a 2 avantages : les hôtels sont beaucoup moins chers et nous sommes tout près de la plage. De plus, quand j’ai vu les gens se promener avec leur valise dans les sentiers (et escaliers) de Fira et Oia, j’ai apprécié le service de navettes qui nous mène aux portes de l’hôtel.
























