Dernière journée à Santorini. Pourquoi ne pas gravir la montagne près de l’hôtel, ce sentier abrupt nous mène à des superbes points de vue sur Kamari. Une minuscule randonnée comparée à celle d’hier. Le ciel est cependant encore nuageux. Nous avions prévu aller dans une basserie locale à plus de 2 km de l’hôtel, mais en utilisant Google Maps, le logiciel nous dit qu’il est fermé aujourd’hui. Nous décidons de nous promener sur la plage. Le vent enlève le goût de se baigner à plusieurs personnes. De notre côté, nous découvrons cette partie de l’île que nous avons négligé même si tout près de l’hôtel. Cette fois, nous sommes demeurés confortable dans notre choix de repas et à notre étonnement, c’est l’une des meilleures pizzas du voyage (et même plus).
Une navette nous amène au port. Notre billet indique 16h40 comme départ, une recherche sur internet nous renseigne que le départ doit se faire à 17h30. La navette pour Héraklion (Crête) arrive finalement à 18h30. Il ne semble pas y avoir de poste d’information donc difficile vraiment de savoir ce qui se passe.
Découvrir une nouvelle île c’est un peu comme rencontré un étranger, nous l’étudions et nous nous adaptons, nous apprenons à la découvrir et à l’apprécier. La quitter, c’est comme laisser un ami, nous connaissions nos points de repère, notre hôtel, nos restaurants et nous ne savons pas si et quand nous le reverrons. SI vous me demandez quelle est mon île préférée, je ne saurais répondre, nous avons vécu des expériences différentes sur chacune, les gens locaux sont agréables surtout dans les parties moins touristiques.
En descendant à Héraklion, on remarque tout de suite le changement de rythme, le climat calme et serein des îles est remplacé par la vie trépidante des villes : Traffic, klaxon, bruit d’une circulation plus intense. Cette ville de 200 000 habitants, la 4ième en importance de Grèce possèdent l’ADN des centres-villes. Nous la découvrions demain. En passant, l’internet de l’hôtel est en panne suite à une tempête de vent.
















